C’est simple comme bonjour ! Afin de garantir l’équité entre tous les candidats et marquer l’effet de surprise dans ce genre de débats TV, il était préférable de poser une question différente pour chaque candidat.
Si les journalistes posaient la même question aux 8 candidats, le premier tiré au sort sera le plus défavorisé. Et le dernier sera le candidat plus gâté de tous.
Ainsi cette méthode, qui consiste à diversifier les questions, est la formule la plus équitable.
Et les candidats à partir du 2ème tiré au sort n’auront pas l’avantage de préparer leurs réponses.
Bravo à notre jeune démocratie et quelle fierté d’avoir vécu ce grand moment de télé.
La Tunisie vient de réussir non seulement avec brio son baptême du feu avec le Grand débat dans le cadre d’une présidentielle (une première à l’échelle nationale et une rencontre rare dans le monde arabe), mais aussi elle vient de montrer la voie à d’autres démocraties en gestation dans la région.
Fier de mon pays !
Aida Khadri
9 septembre 2019 à 04:13
Je ne suis pas convaincue par cet argument,l ordre des réponses des candidats étant inversé à chaque fois, chaqu un aura droit d être, 1er,2eme,3ème…. Pour répondre à la question, c est plus de préparation mais oh ! combien plus enrichissant pour les électeurs, personnellement j aurai voulu savoir la position de tous les candidats quant à l héritage, les relations diplomatiques avec la Syrie à titre d exemple, je pense que c est plus intéressant et même plus équitable, rien n est alors laissé au hasard et à la chance ou malchance d avoir une question que l on maîtrise ou pas !